SPQR:la génèse
Voici le roman photo de grossale, fondateur de la guilde SPQR en coopération avec kooba et PileR6.
Il nous avait dévoilé à l'époque toute la vérité sur un post du forum.
Voici comment cela s'est passé :
En des temps anciens où la mémoire des nains fut oubliée, un homme acheta une maison qui portait le doux nom de farfadet (et en plus c'est véridique).
Fichier:Http://img32.imageshack.us/img32/5771/dscf0018farfadet8pj.jpg
Un soir, en compagnie de ces compagnons de taverne(s), ils décidèrent de trinquer mais hélas les bières étaient trop chaudes.
[[1]] (ndlr : de gauche à droite : kooba, grossale et PileR6 )
Mais que faire, il faut que ce breuvage fasse son office.
Mais oui, j'ai un puit : rien ne vaut une bière à bonne température.
[[2]]
Ce geste ô combien anodin se révéla d'une ampleur considérable... car telle la lampe du génie qui est invoquée suite à son frottement, le puits du farfadet par l'offrande de la bière réveilla un nain à l'humeur bien guerrière.
[[3]]
- "Agenouillez-vous, mortels!" dit-il d'une voix terrible qui résonne encore dans mon fort intérieur.
- "Je vous accorde le droit de jouer à Nainwak et de créer une guilde."
- "Pour cela, je vous accorde 3 questions à partir de maintenant afin que cette guilde soit la plus terrible."
[[4]]
Devant l'émotion, j'ai posé de bien mauvaises questions à ce qu'il parait.
- Mais qui êtes-vous? Je suis le satan spirituel de Nainwak.
- Vous en êtes certain? Oui.
- Vraiment? Oui.
Et l'âme spirituelle du satan disparu dans un fracas. Mais on avait pas tout perdu car à l'intérieur de son corps, nous trouvâmes:
[[5]]
Ainsi kooba pris le lance-banane et devint sniper, PileR6 la calcu et devint bourrin, et grossale le tire-bouchon et devint donc celte (et alcoolique).
Fiers de ces objets, ils créèrent la SPQR et lui furent fidèles à jamais.
Mais ô combien ces 3 questions leurs manquèrent!
FIN
PS1: Il se passa bien des choses jusqu'à l'avènement d'actes bien héroïques mais ceci est une autre histoire."
PS2 : kooba est la création snipeuse de cette guilde, de ce fait, haïssez le tant que vous pouvez !